Les termes sondages
et favoris n’ont pas fini d’émerveiller. Pour 2016 et 2017, les mots sondages
et favoris ont été démentis par la réalité des faits et des terrains. En
politique comme en sport. Les dernières élections qui se sont déroulées dans
plusieurs parties du monde ont fait mentir les instituts de sondage et leurs prédictions
d’avant-élections. Cela a commencé par le référendum en Grande-Bretagne où les
sondages donnaient le Oui vainqueur, avec une petite avance comme ils le
disaient. Ensuite, l’élection américaine avec sa surprise Trump en passant par
les Primaires en France. Alors, les termes sondages et favoris, pure
spéculation ? En sport aussi, il
arrive que les favoris d’une compétition ne réussissent même pas à passer le
premier tour des compétitions. C’est le cas de l’Algérie que beaucoup voyaient
remporter cette édition de la Coupe d’Afrique des Nations, avec sa pléiade de stars
dont Riyad Mahrez, récemment couronné « Ballon d’or » africain après
avoir été désigné meilleur joueur de la Premier League anglaise. Pour cette Can
aussi, nombreux sont ceux qui ont été appelés favoris et n’ont pas été élus
dans la deuxième phase du tournoi. Cela vient ainsi remettre en cause des
« prédictions » de spécialistes qui, peut-être, sur de bonnes bases,
décrètent que telle équipe est favorite et l’autre ne l’est pas. En sport comme
dans les élections, les choses sérieuses se décident sur le terrain ou dans les
urnes. Pas avant, ni après. A l’avenir donc, il faut revoir les prédictions
d’avant-élections ou de compétitions sportives auxquelles souvent le terme
« open » est ajouté. Pour juste dire que c’est ouvert et donc tout
est possible. Il faut aussi savoir qu’une sonde sur
un terrain politique ou sportif peut se révéler positive au loin et négative à
l’arrivée….
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